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Come back to my life Ft Louise
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Et soudain tu est là, comme si tu ne m'avais jamais quitter...

Au fur et à mesure des mots de William je me sentais nouée, un peu plus. Je mis même ma main libre sur ma bouche, sans y réfléchir. "Mes parents pensent que c'est de ma faute, ma mère m'a dit qu'ils ne peuvent pas m'en vouloir au point de ne plus vouloir me voir, mais je sais qu'à chaque fois que j'y vais, ils pensent à ce qui est arriver. Souvent, on reste silencieux à table et mon père regarde la chaise vide, celle où mon frère aimait s'asseoir." Je baissai un peu les yeux avant de lui répondre. Je n'osais imaginer ce qu'il pouvait ressentir. J'avais moi aussi un frère avec qui j'étais très fusionnelle, et l'idée de le perdre m'était déjà insoutenable.

« On cherche toujours un coupable mais ce n’est pas toi ! Même complètement sobre tu aurais pu te le prendre ce cerf. Et puis, culpabiliser ne t’aidera pas. Cela ne fera pas revenir ton frère malheureusement et cela ne t’aidera pas à avancer. Je suis sûre qu’il voudrait te voir heureux et pour tes parents pareil. » J’avais peur d’être dure dans mes mots mais ce n’était pas le but du tout. Je ne savais pas vraiment comment il allait le prendre. « Je ne dis pas ça pour t’enfoncer au contraire, je n’aime pas te voir comme ça… J’aurais voulu être là pour toi il y a cinq ans. » dis-je alors. Je terminai mon tacos à mon tour.

« Tu veux marcher un peu ? » lui proposai-je alors, comme nous avions tous les deux terminé.

EXORDIUM.
Dim 5 Mai - 13:39
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Et soudain tu est là, comme si tu ne m'avais jamais quitter...



Avec son frère, il avait fait les quatre cents coups, ils avaient été fusionnels et ressentait encore ce manque de ne plus le voir. En même temps, sans doute que c'était normal de toujours avoir ce trou dans la poitrine après ce qui était arrivé. Pendant un temps, il s'était demandé s'il l'avait vu mourir, dans la voiture, alors qu'il était juste un eu assommé et cette idée lui donnait la nausée.

Il ne pouvait pas en vouloir à Louise d'être choquée, lui même aurait sans douté été ainsi si elle lui aurait dit l'atrocité de cette mort. Il se contenta de la regarder, sans rien dire, comme si ses mots avaient déjà été tous prononcer à ce sujet. Il aurait pu parler encore de cette partie de sa vie. Le moment de l'enterrement où il était seul, celui où ses filles lui avaient demandé où leur oncle chéri se trouvait ou encore ses multiples séances chez un psy qui n'avait rien arrangé du tout.

Les mots de Louise furent difficile à attendre. C'était ce que plusieurs personnes lui avaient déjà dit, pourtant, cela sonnait plus concret quand c'était prononcer par la française. Il vivait avec depuis cinq ans et pourtant, jusqu'à ce soir, il n'avait pas réussit à écouter qui que ce soit alors que c'était le contraire avec Louise. Il aurait eu envie de lui dire qu'il l'aimait, c'était le moment propice de ce soir, mais il n'en fit rien. Préférant la regarder dans les yeux. "tout aurait été plus simple si tu aurais été là."

Mais avec des "si", on pourrait refaire le monde, il ne fallait plus regarder vers le passé mais plutôt le futur. Ainsi, quand elle demanda à marché une fois leurs tacos terminés, il hocha la tête. "Avec plaisir. En plus, les rues ne sont pas sûres pour une jolie demoiselle comme toi" Il se leva, prit son manteau et sortit avec Louise, dans la rue. Il prit alors son bras et commença à marcher, sans but précis. " Tu as fais beaucoup de reportages en France?"




EXORDIUM.
Lun 6 Mai - 19:46
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Et soudain tu est là, comme si tu ne m'avais jamais quitter...

"tout aurait été plus simple si tu aurais été là." La culpabilité me rongeait toujours mais il fallait bien avancer. Rien ne servait de ressasser tout ça, les choses étaient faites de toute façon. Je terminai mon tacos avant de lui proposer d’aller marcher. Prendre l’air ferait certainement du bien, et encore plus après cette gourmandise. "Avec plaisir. En plus, les rues ne sont pas sûres pour une jolie demoiselle comme toi » Je souris à son compliment avant de me lever de table. « Tu vas finir par me faire rougir et tu n’arriveras plus à te débarrasser de moi, méfie toi ! » lui répondis-je en souriant.

William était plus locace et plus séducteur qu’il y a douze ans, pour autant je ne tentai toujours rien. Je n’avais pas envie de perdre le lien que nous étions en train de reformer et j’avais besoin de prendre du recul sur nos retrouvailles, être sûre que ce qui se passait dans ma tête et dans mon coeur étaient bien réels.

" Tu as fais beaucoup de reportages en France?" me demanda-t-il une fois dehors. Le journalisme avait toujours été une vocation pour moi. Dès l’adolescence j’aimais faire des recherches sur divers suejts, écrire des articles, décortiquer les journaux et magazines. « On peut dire que sur ce point j’ai bien réussi oui, ça m’a aidé à trouver du travail aussi vite ici d’ailleurs. » lui répondis-je alors que nous marchions tranquillement. « Je ne suis pas non plus mondialement connue mais mon ancien patron avait accepté de me faire une lettre de recommandation et j’ai écrit pas mal d’articles sur le net aussi. »


Je marquai une pause, respirant l’air de Portland et les lumières de la ville alors que la nuit était bien tombée. « Ca fait du bien de déambuler à nouveau ici. » * Avec toi * aurais-je pu ajouter. Depuis une semaine que j’étais arrivée ici je ne regrettaie pas mon choix de vie. Je me sentais chez moi et la vie semblait tellement plus belle et plus simple.

EXORDIUM.
Mer 8 Mai - 14:20
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Et soudain tu est là, comme si tu ne m'avais jamais quitter...




William était beaucoup plus entreprenant qu'il y a 12 ans, il supposait que c'était parce qu'il avait pris de l'assurance avec son mariage raté ou tout simplement parce qu'il était en face de Louise et qu'il n'avait pas envie de tout perdre cette fois-ci avec elle. Au vu de nos deux vies complètement différentes mais qui se rejoignent sur un le fait qu'elles ont été un peu ratées , me fait croire qu'il serait temps que tu restes dans ma vie. William avait regardé Louise pendant tout son monologue , avant de se lever pour aller marché comme elle le souhaitait .

La nuit fraîche avait fais disparaître le William séducteur pour un William qui était beaucoup plus curieux en vers la carrière professionnelle de son coup de cœur. Il fut heureux de constater qu'elle avait le métier qu'elle souhaitait depuis longtemps. J'adorerais lire un de tes articles, tu me le traduire eh bien sûr, le français et moi c'est toujours pas une grande histoire d'amour avait il dit amusé en la regardant tout en continuant de marcher à ses côtés.

Après un petit silence entre les deux amis, Louise annonça que ça lui faisait un bien fou de revenir en ville, William n'en douta pas une seconde. Elle avait annoncé plutôt qu'elle avait vécu la meilleure année de sa vie ici, il espérer que cette nouvelle page dans la vie de la française serait tout aussi réussi qu'il y a 12 ans avec un chapitre en plus le concernant. je ne doute pas sur le fait que tu seras bien ici, loin de tous tes tracas et tes problèmes que tu as eu en France. Parfois moi aussi j'aurais bien voulu partir loin d'ici et tout recommencer tu as cette chance aujourd'hui il ne se sentit pas obligé de rajouter qu'il serait là pour elle quoi qu'il arrive, pensant qu'elle le savait déjà.

Zigzaguant dans les rues, les deux jeunes gens arrivèrent dans un cul-de-sac point William regarder Louise en souriant tu veux que je te ramène ? il aurait été beaucoup plus serein si elle acceptait cela, de plus, ils pourraient continuer à parler ou a simplement être en bonne compagnie. il faudra que l'on se redonne nos numéros pour rester en contact, enfin, si tu le veux bien ! il se mit à rougir un peu avant de faire demi-tour pour reprendre la balade initiale.


EXORDIUM.
Ven 10 Mai - 19:09
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Et soudain tu est là, comme si tu ne m'avais jamais quitter...

« Au vu de nos deux vies complètement différentes mais qui se rejoignent sur un le fait qu'elles ont été un peu ratées , me fait croire qu'il serait temps que tu restes dans ma vie. » Une phrase qui resta dans ma tête tout le reste de la soirée.

Alors que nous marchions dans la rue, William me demandait des nouvelles de mon travail, ajoutant ensuite qu’il souhaiterait lire des articles que j’avais écrit. « Avec plaisir, je t’en traduirai quelques-uns ! » lui répondis-je alors. Oui j’avais de la chance de redémarrer ma vie à zéro, ou presque et je l’avais saisi. J’étais consciente que ce n’était pas donné à tout le monde.

« Tu voudrais partir où ? Ton ex est toujours en ville ? » lui demandai-je, me doutant bien de sa réponse puisqu’il voyait ses filles régulièrement. On avançait tout en discutant et nous fîmes face à un cul de sac. C’est à ce moment là que Will me proposa de me ramener. J’étais à pied et mise à part prendre un taxi, je ne voyais pas d’autres options pour rentrer en pleine nuit. Je n’étais pas des plus flippées mais je n’étais pas non plus très téméraire. Je lui tendis ma carte après qu’il m’ait proposé de s’échanger nos numéros. Etant journaliste, j’en avais toujours dans ma poche. « Tu n’auras qu’à m’appeler. »

Le silence, la nuit la lumière tamisée des lampadaires, les mots de William résonnant dans ma tête…. Je ne savais pas où tout cela allait nous mener, nous voulions tous les deux la même chose, du moins c’est ce que je comprenais mais, aucun de nous ne faisait d’avancée réelle. Je me permis cependant de me tenir à son bras alors que nous faisions demi-tour. Je ne me rendais pas vraiment compte du temps que nous allions mettre à rentrer chez moi, une vingtaine de minutes à pied certainement. « Et tu me ramènes comment ? »

EXORDIUM.
Ven 10 Mai - 21:07
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Et soudain tu est là, comme si tu ne m'avais jamais quitter...



Oui. William avait décidément envie que Louise ne reparte pas, qu'elle reste avec lui pour apaiser toute cette agitation autour de lui. Le divorce lui laissait des traces invisibles et Louise saurait les panser pour atténuer la douleur. Il avait envie d'aller vite et en même temps de faire les choses biens, d'être certains que Louise était la fille qu'il cherchait depuis toujours - depuis douze ans en réalité-  Alors il tâtait le terrain , pour ainsi dire. Tantôt il était entreprenant, tantôt timide pour voir la réaction de la française et ses joues rouges lui faisait dire qu'il pouvait continuer à penser au futur avec elle.

Il s'imagina alors un instant, rentrant du travail et Louise, à peine rentrée aussi, affalée dans le canapé, des notes sur la table, pour son prochain article de journal. William savait qu'elle était douée et il fut heureux de savoir qu'elle lui traduirait quelques articles pour voir son style d'écriture. "Merci' lui avait-il dit en souriant tout en continuant de marcher.

Il annonça à Louise que parfois, il souhaitait partir de la ville et la jeune femme lui demanda alors la destination. Il haussa les épaules. "Je ne sais pas à vrai dire, mais pendant un temps, je dois bien t'avouer que j'ai voulu tenter de te rejoindre en France, un peu avant que je ne rencontre ma femme. Et puis raison l'a emporter et je suis rester ici, je n'ai pas beaucoup voyager alors j'aimerais changer cela maintenant. " Il fit un eu sourire en l'a regardant. "Elle est en ville, mais on ne se croise que pour que les filles viennent me voir."

Puis il tenta d'avoir son numéros, une choses qu'il y a douze ans en arrière, il avait demander au bout du cinquième "rendez-vous", ce soir, elle lui avait donner sa carte de visite. Un peu surpris, il l'a prit et l'a rangea dans sa poche de manteau. "Je n'hésiterais pas" avait-il dit devant le cul-de-sac. En se rendant compte de l'endroit où ils se trouvaient, il se sentit bête et se mit à rire un peu bêtement quand elle lui demanda comment il allait l'a ramener. "Ma voiture est devant le restaurant...Alors ce que je te propose, c'est soit de revenir à notre point de départ pour prendre la voiture, soit, si tu n'habites pas loin,que je te dépose à pied ou alors le métro."


EXORDIUM.
Jeu 16 Mai - 8:47
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Et soudain tu est là, comme si tu ne m'avais jamais quitter...

Me rejoindre ? Il avait pensé à me rejoindre alors même que j’avais fait une croix sur une éventuelle histoire entre nous deux. Je baissai les yeux, préférant ne rien répondre. Sa femme était en ville, la situation devait être bien plus compliquée pour lui qu’elle ne l’était pour moi avec mon ex. « Ca ne doit pas être facile. » dis-je simplement.

Alors qu’on arriva dans une impasse, William me proposa d’échanger nos numéros et de me ramener chez moi. N’ayant aucune envie de le quitter j’acceptai, demandant bêtement par quel moyen il comptait me ramener. "Ma voiture est devant le restaurant...Alors ce que je te propose, c'est soit de revenir à notre point de départ pour prendre la voiture, soit, si tu n'habites pas loin,que je te dépose à pied ou alors le métro." Après avoir réfléchi un instant, je donnai ma réponse à Will.

« Je préférerais qu’on prenne la voiture si ça ne te dérange pas, je n’ai pas trop envie de te savoir seul en pleine nuit dans la rue. C’est sans doute ridicule, tu es assez grand et tu n’es pas une femme mais, je serais plus rassurée... » Je n’aimais pas errer dans les rues seules, on ne sait jamais sur qui on peut tomber mais j’en faisais sans doute trop pour William, il connaissait la ville bien mieux que moi.

EXORDIUM.
Ven 17 Mai - 13:01
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Et soudain tu est là, comme si tu ne m'avais jamais quitter...



En ce moment, William était plutôt rassuré, certes, avec le divorce, tout n'avait pas été tout rose, il n'avait pas pu avoir la garde de ses filles et il avait eu un coup dur parce qu'on n'effacait pas onze ans de mariage en un claquement de doigt. Il y a des jours où cela n'avait pas été facile, où il s'était enfermé dans son travail pour ne pas penser à sa vie qu'il trouvait merdique. Mais le divorce était prononcé maintenant et malgré le fait qu'il était toujours blessé de ne pas avoir ses filles chez lui tout le temps, ça allait mieux. il y a eu des moments plus compliqués qu'à présent. Tant que je paie les pensions alimentaires, je ne l'a verrait pas devant ma porte. Elle s'est retrouvé quelqu'un, les filles le l'ont dit, alors elle ne me harceler pas pour que je l'an reprenne. '' il regarda Louise, un petit sourire ironique sur les lèvres c'était ce dont j'avais peur. Qu'elle me mène la vie dure pour que je craque et que j'efface tout mais non et ça me rassure.

Il se posait tout de même des questions sur Louise et celui qui avait été la raison de son départ la première fois, celui qu'elle avait choisit et qui, finalement, n'avait pas été le bon. et toi ? J'imagine que c'est plus simple car un océan vous sépare...  avait il dit avant de prendre son bras, souriant, pour rebrousser chemin.

direction, ma voiture ! avait il continuer avant de marcher à nouveau. Il était garer près du restaurant mais quimporte, il continuerait à être avec Louise et c'était ça qu'il voulait. Il fut amusé de savoir qu'elle ne voulait pas qu'il soit seul dans les rues, c'était mignon. tu n'es pas trop fatiguée ? Ça va ? " il en voulait pas qu'elle tombe d'épuisement, au pire il pourrait la porter sur son dos.




EXORDIUM.
Mar 21 Mai - 7:36
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Et soudain tu est là, comme si tu ne m'avais jamais quitter...

« C’est plus simple oui, et puis, on n’était pas marié et sans enfant, c’est aussi beaucoup plus simple. On était sur la même longueur d’onde quand on s’est quitté. » lui répondis-je simplement et honnêtement. Je n’avais plus de contact avec mon ex. La séparation nous avait tellement soulagés que c’était la chose qu’on avait le mieux réussi dans notre relation.

William et moi partîmes direction son restaurant pour rejoindre sa voiture. Il me prit par le bras et cela me fit plaisir. Je me sentais bien avec lui et je ne voulais pas que cela s’arrête. « tu n'es pas trop fatiguée ? Ça va ? » s’inquiéta-t-il à mon sujet.

« Ca fait longtemps que je ne me suis pas sentie aussi bien. » dis-je en souriant, m’accrochant un peu plus à son bras. Je ne me sentais pas fatiguée même si, à mon avis, une fois l’adrénaline de nos retrouvailles descendue je m’écroulerai certainement dans mon lit. Nous finîmes par arriver à la voiture de Will et je me sentis un peu plus tendue. La soirée allait toucher à sa fin dans peu de temps et je n’en avais aucune envie. Je n’avais pas envie d’être seule mais je ne me voyais pas lui en demander plus pour le moment.

EXORDIUM.
Jeu 23 Mai - 21:21
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Et soudain tu est là, comme si tu ne m'avais jamais quitter...



En y parlant, William su que la séparation de Louise et de son ex petit-ami avait été une bénédiction, comme un soulagement, cela se voyait sur son visage. Il ne pouvait pas s'empêcher de s'en vouloir un peu de ne pas l'avoir retenue il y a douze ans car elle aurait sans douté été plus heureuse maintenant. Il lui fit un sourire. "C'est sûr que c'est toujours plus simple quand on n'a pas d'enfant et que tout se passe bien lors de la séparation. On est passé devant un juge pour les filles et j'aurais voulu me battre pour les avoir avec moi mais je travaille beaucoup trop et ça à été une belle victoire pour elle…" Il poussa un soupire. "J'ai eu l'impression, après la réponse du juge, que je n'étais qu'un moins que rien, que ma vie ne servait plus à rien…"

Ils firent marche arrière afin de pouvoir retrouvé vers le restaurant pour prendre sa voiture, il pensa un instant à lui faire le coup de la panne, histoire que la soirée dure plus longtemps, mais ce n'était pas son genre, il ne devait pas avoir peur de la voir partir car, maintenant, elle était en ville et ne comptait pas partir. Il se mit à rougir un peu quand il entendit qu'elle se sentait très bien. Il se mit à se dire qu'il était peut-être l'une des raisons à ce bien être. Il continua à la regarder parfois, tout en marchant, tenant son bras dans le sien. Ils étaient proches et le cœur de William cognait dans sa poitrine.

En arrivant devant sa voiture, il sortit les clés en souriant un peu. "Votre carrosse est avancé madame!" avait-il dit en lui ouvrant la portière. Ce n'était pas une voiture qui coutait chère, elle était du genre de ses nouveaux SUV qu'on voyait partout en Europe, il l'avait trouvé chez un particulier il y a cinq ans et  il était tombé sous le charme de l'auto. En entrant dans l'habitacle, il démarra. "Il me faudrait ton adresse…" avait-il dit, redoutant qu'elle habite à côté et que le trajet touche à sa fin rapidement.




EXORDIUM.
Lun 27 Mai - 12:27
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